La pluviométrie mensuelle est de nouveau excédentaire sur la Bourgogne, les Alpes centrales et la moyenne vallée du Rhône. Les températures fraîches et le déficit d’ensoleillement ont permis aux précipitations,
La pluviométrie mensuelle est excédentaire sur la quasi-totalité du bassin. Au 1er juin 2024, les retenues de Bourgogne-Franche-Comté, des Cévennes et de l’arrière-pays languedocien conservent des taux de
Les cumuls mensuels sont au-dessus de la normale des Cévennes à la Franche-Comté, dû en partie à l’épisode cévenol intense du 28 avril. Du sud de la vallée du Rhône aux Alpes, ainsi que vers le Dijonnais, les
Un mois de mars exceptionnellement pluvieux et chaud sur la majorité du bassin, objet d’épisodes méditerranéens intenses, qui confirme une situation hydrologique excédentaire en sortie d’hiver, sauf sur le
Après un mois de janvier très proche de la normale, le nord du bassin retrouve des précipitations suffisamment fréquentes et importantes pour que le cumul soit de nouveau légèrement excédentaire. Sur le sud du
Avec l’accélération du changement climatique et de ses effets sur la ressource en eau et les milieux aquatiques, l’adaptation des territoires et des usages de l’eau à ces changements devient urgente.
La Bourgogne-Franche-Comté et le nord de la région Rhône-Alpes ont été peu arrosés, malgré les précipitations orageuses de début et fin de mois. La partie sud de la région Rhône-Alpes, les Alpes du Sud jusqu’à
La région Bourgogne-Franche-Comté a été marquée par des précipitations importantes sur sa partie Nord ainsi que les départements de l’Aude et des Pyrénées-Orientales, contrairement au reste du bassin qui garde une
La sécheresse persiste en Bourgogne-Franche-Comté, seuls quelques orages ont permis de conserver une certaine humidité sur le massif du Jura. En PACA, le littoral azuréen reste sec, alors que la Provence et les
Seules les Alpes du Nord et la Franche-Comté ont pu bénéficier de précipitations suffisantes pour conserver une humidité des sols au-dessus des normales de saison. Le reste du bassin est en déficit pluviométrique
Après avoir connu le mois de février le plus sec depuis le début des mesures en 1959, soit 31 jours consécutifs sans précipitation, les départements côtiers n'ont pas bénéficié d'un mois de mars pluvieux comme le
Le mois d'octobre a vu la réalisation d'un travail collaboratif de retour d'expérience avec tous les services de l'Etat impliqués dans la gestion de la crise sécheresse. La sécheresse 2022 étant historiquement
Cette note aborde les procédés de recharge artificielle ou maîtrisée d’aquifères, la faisabilité de leur implantation sur le bassin Rhône-Méditerranée ainsi que les conditions de mise en œuvre de projets dans le
Le retour des précipitations modérées courant septembre marque la fin de la sécheresse météorologique et agricole. La recharge des ressources en eau reste insuffisante et la sécheresse hydrologique se prolonge. Le
La situation des précipitations cumulées globalement déficitaire se poursuit. Les vagues de chaleur successives des mois de juillet et début août ont contribué à la chute spectaculaire et continue des débits, à
Depuis début juillet, les précipitations sont faibles, voire nulles. Les prévisions d'ici la fin du trimestre (fin septembre) annoncent la poursuite de la période déficitaire de l'année hydrologique 2021-2022.
La situation des précipitations cumulées est globalement déficitaire sur l'ensemble de la période de recharge 2021-2022 et cette fin de printemps est particulièrement sèche. Le déficit de précipitation déjà
Les prévisions annoncées par Météo-France imposent d'ores et déjà une gestion très prudente des usagers de l'eau sur le bassin. En anticipation, les arrêtés cadre du bassin sont pour la plupart en consultation ou
Suite à son adoption à l'unanimité par le comité de bassin Rhône-Méditerranée lors de sa séance du 18 mars 2022, le SDAGE 2022-2027 et son programme de mesures ont été arrêtés par le préfet coordonnateur de bassin
Suite à la consultation sur la révision du PLAGEPOMI Rhône Méditerranée 2022‑2027 qui s’est déroulée entre le 1er juin et le 11 juillet 2021, et à l’avis du COGEPOMI du 27 janvier 2022, le PLAGEPOMI RM 2022-2027
Situation hydrologique
contrastée sur le bassin : elle reste sèche le long du littoral méditerranéen et au nord (côte d’Or, Vosges, Saône-et-Loire…), humide ailleurs en fonction des cumuls de précipitations
Le mois de juillet 2021 se caractérise par des précipitations importantes sur le Nord du bassin. Ainsi, 177 mm de pluies ont été enregistrées à Lyon sur tout le mois et de nombreux cours d’eau sont entrés en crue
Malgré quelques épisodes orageux, le mois de juin se caractérise, sur le bassin par un déficit de précipitations, en particulier dans le sud ainsi que par des températures élevées (entre 1,8 et 2,1°C au-dessus de
Le retour des précipitations au mois de mai permet d’améliorer la situation du bassin qui était bien dégradée à la fin avril. Des périodes de températures fraîches alternent avec des périodes plus douces.