Août 2025 : une situation dégradée sous l’effet de la chaleur, mais qui s’améliore en fin de mois grâce à une succession d’épisodes orageux, sauf sur une grande partie du littoral

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Le mois d’août 2025 a de nouveau été marqué par une vague de chaleur de près de 10 jours, avec des évènements orageux parfois intenses très localisés. Sur le nord du bassin, les précipitations sont globalement excédentaires et les sols sont bien ré-humidifiés au 1er septembre 2025. Sur le sud du bassin, les cumuls sont très excédentaires sur le centre du Gard, le nord du Vaucluse, les Hautes-Alpes, les Bouches-du-Rhône et l’ouest du littoral varois, et les sols sont quasi saturés au 1er septembre 2025. Les précipitations sont déficitaires sur le littoral des Pyrénées-Orientales à l'Hérault, sur l’ouest du littoral des Alpes-Maritimes et les deux tiers sud du département du Var, et les sols restent secs.

 

Au 1er septembre 2025, les taux de remplissage des retenues de Bourgogne et des Alpes du Nord sont inférieurs aux normales de saison. En Franche-Comté et dans les Alpes du Sud, le taux global de remplissage dépasse les 80 %, la situation est plus favorable que ces 3 dernières années. Le taux de remplissage des retenues de Montpezat a fortement chuté, mais celui des retenues du Chassezac se maintient au-dessus des 70 %. En Occitanie, les taux de remplissage des retenues en plaine et dans l’arrière-pays sont en baisse, mais restent globalement supérieurs à ceux des 3 dernières années à la même date.

 

Fin août 2025, les débits moyens mensuels des cours d’eau du nord restent globalement inférieurs à la normale, avec quelques améliorations très localisées. Sur l’axe Rhône, les plaines du Roussillon et le Var, les valeurs d’hydraulicité restent en-dessous de la moyenne. Les précipitations excédentaires ont profité aux cours d’eau des Alpes du Sud, du Vaucluse, du Languedoc et de l’arrière-pays du Roussillon, leurs débits moyens sont désormais proches des normales.

 

Au 1er septembre 2025, les niveaux des nappes sont en baisse sur le bassin, mais la vidange s’atténue localement avec l’apport de précipitations estivales efficaces et la baisse des prélèvements. Les niveaux sont très hétérogènes en Bourgogne-Franche-Comté, de bas à modérément hauts. Sur le couloir Rhône-Saône, les niveaux sont globalement comparables aux normales, mais les situations locales peuvent être hétérogènes, avec des niveaux bas à hauts. Pour les nappes alpines, la situation devient plus favorable, avec des niveaux modérément bas à hauts. Sur le pourtour méditerranéen, les niveaux sont généralement proches des normales à hauts. La situation est meilleure en 2025 par rapport aux 3 années précédentes pour les nappes réactives de l’Hérault, de l’Orb et de la plaine du Roussillon. Enfin, les niveaux restent bas à très bas sur les nappes de la vallée de l’Aude, du massif des Corbières et les nappes inertielles de la plaine du Roussillon.

1. Point météorologique : précipitations, températures

Pluviométrie mensuelle

Avec un cumul de précipitations agrégées de 103 mm sur le nord du bassin, soit 120 % de la normale d‘un mois d’août, ce mois se place au 16ème rang des cumuls les plus élevés depuis 1959. Des perturbations pluvio-orageuses significatives se sont succédé en toute fin de mois, avec de très forts cumuls sur la pointe sud de la Drôme. Les cumuls mensuels sont excédentaires de 20 à 60 % des Vosges à la pointe sud de la Saône-et-Loire. Quelques zones sont déficitaires de 10 à 30 % dans le Haut-Jura, le Lyonnais, et de la combe de Savoie au sud de l’Ardèche.

Les précipitations de ce mois d'août 2025 sont très hétérogènes sur le sud du bassin, avec des cumuls allant de 2 à 250 mm. Les secteurs les plus arrosés sont le centre du Gard et le nord du Vaucluse, avec un excédent de 200 à 300 %, ainsi que les Hautes-Alpes, les Bouches-du-Rhône et l’ouest du littoral varois. Ces précipitations résultent notamment d'une dégradation pluvio-orageuse marquée dans la nuit du 31 août au 1er septembre. Les cumuls mensuels sont excédentaires de 10 à 50 % des Alpes-de-Haute-Provence au littoral niçois, et sur l’arrière-pays du Languedoc-Roussillon. Les précipitations sont déficitaires de 30 à 50 % sur le littoral des Pyrénées-Orientales à l'Hérault. Le déficit pluviométrique atteint 60 à 80% sur l’ouest du littoral des Alpes-Maritimes et les deux-tiers sud du département du Var.

Pluviométrie depuis septembre 2024

Depuis le 1er septembre 2024, le cumul de précipitations agrégées sur le nord du bassin est de 1233 mm, soit 105,2 % de la normale, ce qui classe cette période au 20ème rang des cumuls les plus élevés depuis 1959. Les cumuls sont proches des normales sur la grande majorité du nord du bassin. L’excédent dépasse en revanche les 25 % sur la pointe est de la Savoie et sur le relief Ardéchois.

Depuis le début de l'année hydrologique 2024-2025, la situation est plus contrastée sur le sud du bassin, avec des cumuls de précipitations variant de 400 à 2000 mm selon les secteurs. Ils sont déficitaires sur certains secteurs des Pyrénées-Orientales, sur l'ouest de l'Hérault et sur l'ensemble du département de l'Aude, avec un déficit plus marqué dans le centre du département. En revanche, les cumuls de précipitations sont excédentaires sur une large moitié ouest du Gard, dans le centre du Var ainsi que dans les Alpes et en Lozère, et plus localement sur l'est de l'Hérault, le sud de l'étang de Berre et le nord du Vaucluse.

Précipitations efficaces

Avec 37,7 mm de pluies efficaces agrégées sur le nord du bassin en août 2025, pour une normale de 9,8 mm, c’est le 9ème cumul le plus élevé depuis 1959. Les cumuls sont fortement excédentaires sur une grande partie du nord du bassin. Les cumuls sont supérieurs à 50 mm sur des zones étendues de la Franche-Comté, de la Bourgogne, de la Haute-Savoie et de la bordure sud de la Drôme. Les seuls cumuls légèrement négatifs sont relevés en Basse Ardèche.

Sur ce mois d'août 2025, les précipitations efficaces sont négatives sur le littoral des Pyrénées-Orientales à l'Hérault, ainsi que sur le sud et l'ouest des Alpes-Maritimes, et sur l'ensemble du département du Var. Les précipitations efficaces sont de l'ordre de 25 à 75 mm sur l'ouest de l'Aude, l'ouest et le sud des Pyrénées-Orientales, le sud-est de l'étang de Berre, le nord de la Lozère et des Alpes-de-Haute-Provence ainsi que sur les Hautes-Alpes et le Vaucluse. On observe localement de 100 à 125 mm sur le nord-ouest du Vaucluse et jusqu'à 150 à 200 mm dans le centre du Gard.

Précipitations efficaces depuis septembre 2024

Depuis le mois de septembre 2024, le cumul de précipitations efficaces agrégées sur le nord du bassin est de 627 mm, soit un excédent de 5,1 %. C’est le 25ème total le plus élevé depuis 1959. Une majeure partie du nord du bassin est proche de la normale ou légèrement déficitaire, avec quelques secteurs au déficit plus prononcé dans le nord du Rhône, le sud du massif du Jura et la vallée du Rhône après Valence. Le cumul de précipitations efficaces est excédentaire de 25 à 50% sur le sud de la Savoie et la quasi-totalité de l’Ardèche.

Depuis septembre 2024, les cumuls de précipitations efficaces sont très hétérogènes sur le sud du bassin. Les précipitations efficaces sont déficitaires des Pyrénées-Orientales à une large moitié ouest de l'Hérault, dans le secteur du val de Durance à la frontière entre les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse jusqu'en Provence verte, ainsi que localement sur le littoral varois. Le déficit est plus marqué sur l'est de l'Aude et le sud-ouest de l'Hérault. Les précipitations efficaces sont excédentaires dans les Alpes, le centre du Var, le sud-est de l'étang de Berre, le nord-ouest du Vaucluse et l'est de l'Hérault, ainsi que sur une large moitié ouest du Gard et en Lozère.

Été 2025 : une chaleur exceptionnelle et des précipitations très inégalement réparties

Au niveau national, l’été 2025 se situe au 3e rang des étés les plus chauds, avec une anomalie de +1,9°C par rapport à la normale, derrière les étés 2003 (+2,7°C) et 2022 (+2,3°C). Deux vagues de chaleur se sont succédé sur le bassin, la première du 19 juin au 5 juillet, remarquable par sa durée et sa précocité, et la seconde du 8 au 18 août, très intense sur la moitié sud du bassin. Les températures ont atteint des niveaux inédits, tous mois confondus : 38,7°C le 12 août à Annecy en Haute-Savoie, 27,2°C la nuit du 17 juillet à Toulon dans le Var, 27,8°C la nuit du 16 août à Narbonne dans l’Aude et 28,7°C la nuit du 12 août à Nice dans les Alpes-Maritimes.

Sur certaines villes du sud du bassin, le seuil de 35°C a été dépassé 1 jour sur 4 sur l’ensemble de l’été, notamment à Perpignan dans les Pyrénées-Orientales et Carcassonne dans l’Aude, parfois 1 jour sur 3 comme à Nîmes dans le Gard, Le Luc dans le Var ou encore Carpentras dans le Vaucluse.

Les vagues de chaleur successives ont particulièrement accentué la sécheresse des sols et fragilisé la végétation. Les pluies de printemps ont permis le développement d’une végétation dense sur le pourtour méditerranéen, qui s’est très vite desséchée pendant le mois de juin, historiquement très chaud et sec. C’est une situation très inhabituelle pour un début juillet, se rapprochant d’années remarquables comme 2017 ou 2022. La vague de chaleur de début août, avec des passages caniculaires, s’est traduite par une recrudescence des dangers des feux les plus élevés. Le plus grand incendie de l’été est le feu de Ribaute dans l’Aude, qui a brûlé 11 133 hectares. Un feu que l’on peut qualifier de hors normes, notamment pour sa superficie et son intensité.

Au cours de l’été, plusieurs épisodes pluvieux intenses ont eu lieu. Les précipitations sont excédentaires, sur la saison, des Vosges au Lyonnais, des Hautes-Alpes au Gard et sur le littoral du Roussillon. Les précipitations sont déficitaires de 10 à 50 % de la Haute-Savoie au sud de l’Ardèche, et de plus de 50 % sur le Var et les Alpes-Maritimes. Il n’est tombé que 8 mm au Luc dans le Var sur l’ensemble de la saison.

2. Situation des milieux aquatiques et de leurs habitats

La quatrième campagne de l’Observatoire national des étiages (ONDE) à l’échelle du bassin pour l’année 2025 a été réalisée du 22 au 28 août par les agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) sur les petits cours d’eau. Elle s’est déroulée dans des conditions météorologiques assez estivales, la première quinzaine d’août a été très chaude et sèche par rapport aux normales saisonnières, avec quelques rares évènements pluvieux.

À noter : les précipitations les plus importantes ont eu lieu en toute fin de mois, après la fin de cette campagne.

266 stations sont en rupture d’écoulement ou en assec, réparties sur l’ensemble du bassin, soit 36% des observations. À la même période en 2024, 197 stations étaient en rupture d’écoulement ou en assec. En août 2023, 365 stations et en août 2022, 350 stations, étaient en rupture d’écoulement ou en assec, réparties sur tout le bassin.

Les départements volontaires peuvent bénéficier d’une campagne d’observation avec 4 modalités d’écoulement, au lieu des 3 habituelles, ce qui permet de mieux nuancer les résultats : les petits cours d’eau du nord du bassin, par exemple, étaient dans une situation particulièrement critique jusqu’aux précipitations salutaires de la fin du mois.

3. Situation des retenues d'eau

Au 1er septembre 2025, les taux de remplissage des retenues de Bourgogne baissent en dessous des 40 %, avec des niveaux similaires à 2023 et inférieurs à 2022. En Franche-Comté, le niveau de la retenue de Vouglans reste stable, le taux de remplissage est supérieur à 80 %.

Dans les Alpes du Nord, les taux de remplissage des retenues restent inférieurs aux normales de saison. Le taux global de remplissage se maintient en dessous des 70 %. Dans les Alpes du Sud, malgré une légère baisse, le taux global de remplissage dépasse les 80 %, la situation est plus favorable qu’en 2023 et 2022.

Le taux de remplissage des retenues de Montpezat a fortement chuté au mois d’août, il est désormais inférieur à 40 % au 1er septembre 2025. Le taux de remplissage des retenues du Chassezac est en baisse, mais il reste supérieur à 70 %.

Dans le Gard et l’Hérault, les retenues ont été fortement sollicitées, mais le taux de remplissage global se maintient au même niveau qu’en 2024. Les taux de remplissage des retenues dans l’arrière-pays audois restent globalement supérieurs à ceux des 3 dernières années à la même date. Dans les Pyrénées-Orientales, malgré une forte baisse, le taux de remplissage global se maintient au-dessus des 45%.

Canaux VNF

Au niveau national, le taux de remplissage des canaux VNF est en baisse, passant de 48 % au 1er août à 36 % au 1er septembre 2025, pour un taux moyen habituel de 53 % sur ces 10 dernières années.

Le taux de remplissage du Canal de Bourgogne, versant Saône, continue sa baisse pour atteindre 32 % au 1er septembre 2025. Ce taux était de 77 % au 1er septembre 2024 et de 25 % au 1er septembre 2023.

Le taux de remplissage du Canal du Midi au 1er septembre 2025 est de 32 %, il est en forte baisse par rapport au 1er août. Ce taux était de 66 % au 1er septembre 2024, et de 59 % au 1er septembre 2023.

4. Hydrologie : cours d'eau, hydraulicité, fleuve Rhône

Fin août 2025, les débits moyens mensuels des rivières de Bourgogne et des Alpes du Nord restent inférieurs à la normale. En Franche-Comté et dans l’Ain, les améliorations sont très localisées, les débits restent globalement inférieurs à la moyenne. Sur l’axe Rhône, les valeurs d’hydraulicité restent en dessous de la moyenne.

L’hydraulicité reste globalement inférieure à la normale sur les plaines du Roussillon, et du delta du Rhône au Var. Les précipitations excédentaires ont profité aux cours d’eau des Alpes du Sud, du Vaucluse, du Languedoc et de l’arrière-pays du Roussillon, leurs débits moyens sont désormais proches des normales.

Fleuve Rhône

L'hydraulicité du mois d'août 2025 est particulièrement faible et se situe largement au-dessous de la moyenne 1920-2025. Hormis la station de la Saône en amont de Lyon, qui se positionne au 21ème rang, toutes les stations du Rhône se situent en dessous du 5ème rang des mois d’août les secs sur les 105 dernières années. Ce déficit mensuel s'inscrit dans une tendance de tarissement annuelle amorcée depuis février 2025.

Coefficient d'hydraulicité du fleuve Rhône sur 12 mois, de 2020 à 2025

 

BOGNES

TERNAY

VALENCE

BEAUCAIRE

septembre 2020 − août 2021

1.12

1.12

1.06

0.99

septembre 2021 − août 2022

0.79

0.70

0.69

0.64

septembre 2022 − août 2023

0.93

0.74

0.71

0.67

septembre 2023 − août 2024

1.33

1.28

1.27

1.30

septembre 2024 − août 2025

0.95

0.90

0.90

0.99

Source : Compagnie nationale du Rhône (CNR)

5. Humidité des sols

Sur le nord du bassin, les sols se sont rapidement asséchés pendant la vague de chaleur de la 1ere quinzaine d’août. Mais les nombreuses pluies orageuses de la 2eme partie du mois ont bien inversé la situation. L’indice d’humidité des sols est excédentaire sur une bonne partie du nord du bassin au 1er septembre 2025. Cet excédent dépasse les 50 % dans le centre de la Saône-et-Loire, et le sud de l’Isère et de la Drôme. Les sols demeurent cependant légèrement plus secs que la normale de la pointe nord de la Savoie au sud de l’Ardèche.

Pendant la 1ere quinzaine du mois d’août 2025, les sols sont restés secs à très secs sur le sud du bassin. Les précipitations de la 2eme quinzaine ont permis de fortement ré-humidifier les sols des départements des Hautes-Alpes, du Vaucluse, des Bouches-du-Rhône, et plus localement les sols du centre et de l’est Gard, et du littoral varois de Saint-Cyr-sur-Mer à Hyères. Au 1er septembre 2025, les sols restent plus secs que la normale sur le centre des Pyrénées-Orientales, l'est de l'Aude, une partie ouest de l'Hérault, le littoral de l'Hérault au Gard, ainsi que sur le Var et le sud des Alpes-Maritimes.

6. Situation des nappes d'eaux souterraines

Au 1er septembre 2025, les niveaux sont en baisse sur le bassin, mais la vidange s’atténue localement avec l’apport de précipitations estivales efficaces. Les apports pluviométriques de la troisième décade d’août ont permis d’enregistrer des recharges ponctuelles sur des nappes très réactives (socle, calcaires karstiques et alluvions) des deux-tiers sud du bassin. De faibles hausses de niveaux ont notamment été observées les derniers jours d’août. Ces recharges sont toutefois insuffisantes pour inverser les tendances mensuelles.

Les niveaux des nappes sont très hétérogènes en Bourgogne-Franche-Comté, de bas à modérément hauts. Les niveaux des nappes inertielles du couloir Rhône-Saône sont globalement comparables aux normales. Les situations locales peuvent être hétérogènes, avec des niveaux bas à hauts. Pour les nappes alpines, la situation devient plus favorable, avec des niveaux modérément bas à hauts.

Sur le pourtour méditerranéen, les niveaux sont généralement proches des normales mensuelles à hauts. Les pluies de printemps et, en moindre mesure, de l’été, ont permis de soutenir ponctuellement les niveaux. Les niveaux sont hauts pour les nappes réactives de la Côte d’Azur ayant observé des recharges récentes. La nappe des sables astiens à Valras-Agde est modérément haute, avec des prélèvements en baisse, une situation plus favorable que celles des mois d’août précédents. La situation est meilleure en 2025 par rapport aux 3 années précédentes pour les nappes réactives de l’Hérault, de l’Orb et de la plaine du Roussillon. Enfin, les niveaux restent bas à très bas sur les nappes de la vallée de l’Aude, du massif des Corbières et les nappes inertielles de la plaine du Roussillon.

7. Mesures d'anticipation et de restriction des usages de l'eau

Au 1er septembre 2025, les 27 départements du bassin Rhône-Méditerranée ont des secteurs en vigilance ou sont concernés par des mesures de restriction des usages de l'eau. 5 départements, l’Ardèche, les Bouches-du-Rhône, l’Hérault, l’Aude et les Pyrénées-Orientales, ont des secteurs avec des mesures de restriction de niveau crise.

Publié le 18/09/2025