La sécheresse persiste en Bourgogne-Franche-Comté, seuls quelques orages ont permis de conserver une certaine humidité sur le massif du Jura. En PACA, le littoral azuréen reste sec, alors que la Provence et les Alpes du Sud ont profité d’importantes précipitations. Le littoral occitan et la Camargue sont toujours très secs, avec un important déficit de précipitations. Les seules zones encore humides sont situées dans l’ouest de l’Aude et du Gard. Les températures sont restées au-dessus des normales de saison.
Les retenues de Bourgogne-Franche-Comté ont commencé le soutien des canaux. Dans les Alpes et le Massif Central, les retenues se sont rapidement remplies. La situation des barrages en Occitanie est plus contrastée, avec des besoins de soutien à l’irrigation augmentés par la sécheresse.
Les débits des cours d’eau poursuivent leur baisse sur toute la Bourgogne-Franche-Comté et en Rhône-Alpes jusqu’à Valence. Les cours d’eau de Drôme-Ardèche ont profité de précipitations et conservent des débits normaux pour la saison. En PACA, la situation est très contrastée, avec des hausses temporaires dans les Alpes du Sud et jusqu’aux cotes, alors que d’autres cours d’eau sont à des niveaux très bas. Situation toujours tendue dans le Roussillon et sur le littoral occitan, avec tout de même une amélioration des débits dans l’arrière-pays et sur les reliefs.
En Bourgogne-Franche-Comté, les nappes continuent de baisser, sans perspective d’amélioration jusqu’à la fin de l’été. Les nappes des Alpes du Nord se maintiennent à un niveau correct à bas. La baisse est généralisée sur l’Axe Saône-Rhône, de Dijon à Montélimar, avec des niveaux déjà bas à très bas. En PACA, certaines nappes de l’arrière-pays et des Alpes du Sud ont vu leur niveau légèrement remonter ou se stabiliser. La majorité des nappes du pourtour méditerranéen sont à des niveaux bas à très bas, voire historiquement bas dans le Roussillon.
Sommaire
1. Point météorologique : précipitations
Pluviométrie
La Bourgogne-Franche-Comté a vécu le 2eme mois de juin le plus chaud sur la période 1947-2023, après 2003. La Haute-Saône et le centre de la Côte d’Or sont restés secs, avec un déficit pluviométrique de 50% à 70%. Le Mâconnais et le sud du relief jurassien ont bénéficié de pluies orageuses en fin de mois, avec un excédent atteignant les 20%.
De fréquents orages localisés ont arrosé la région Rhône-Alpes en début et fin de mois. Ainsi, en Drôme-Ardèche, il a plu parfois plus de deux fois et demie que la normale. La Savoie, la Haute-Savoie et la Bresse accusent à l’inverse des déficits atteignant localement 50 %. Les températures ont été en moyenne au-dessus des valeurs de saison, 2023 se classe à la 4ème place des mois de juin les plus chauds. Ces anomalies de chaleur ont été plus marquées au nord de la région.
Les précipitations n'ont pas concerné de manière égale les régions du sud du bassin. L'intérieur de la région PACA, le nord du Gard, la Lozère, la Montagne Noire et les Pyrénées ont reçu des cumuls souvent supérieurs à 100 mm. Ces cumuls sont nettement plus élevés que la normale, avec des anomalies atteignant localement +300 à +400 %, notamment dans le Val de Durance ou le nord-est des Garrigues. L'épisode orageux du 13 juin peut être souligné. En effet, plusieurs averses se sont produites au cours de la journée, avec en fin d'après-midi la formation d'une ligne stationnaire dans la région du Val de Durance, provoquant de fortes pluies, de la grêle et des inondations.
Le mois de juin 2023 a cependant été pauvre en précipitations sur toute la partie littorale et l'est des Hautes-Alpes, où les cumuls n'atteignent pas 20 mm localement. On note ainsi un déficit d'environ 50% sur la Côte d'Azur. Le déficit reste particulièrement important sur le littoral du Roussillon, avec seulement 40 % des précipitations normalement attendues à cette période de l'année. Ces précipitations se sont surtout concentrées sur la 1ere quinzaine de juin, la 2eme quinzaine étant restée quasi sèche. Juin 2023 s'est révélé plus chaud que les normales sur la totalité de la région Occitanie. L'anomalie dépasse +2° C dans le Roussillon notamment, ainsi que dans le couloir de l'Aude. Elle est importante sur le Gers, l'Aude et l'Hérault, où elle atteint entre +2 et +3°C.
Depuis le 1er septembre 2022, le cumul de précipitations agrégé sur le nord du bassin est de 919,5 mm (soit 90,4 % de la normale). C’est le 19ème cumul le plus faible depuis 1959. On retrouve les plus forts déficits (jusqu’à 30 voire 40%) le long d’un axe allant des Cévennes à l’Ain (secteur de Bourg-en Besse), en passant par le Nord-Isère. On retrouve également des déficits dépassant localement 20 % en Côte d’or, dans le nord du Jura, la Haute-Marne et sur le plateau de Langres en Haute-Saône. Inversement, un axe légèrement excédentaire s’étend de la région de Nyons, dans la Drôme aux sommets de la Haute-Savoie. Le reste du nord du bassin est proche de la norme.
Sur l'année hydrologique en cours, le sud du bassin est dans l'ensemble déficitaire. Le déficit est le plus marqué sur une ligne comprenant la moitié est du Roussillon jusqu'au Mont-Lozère, avec une anomalie atteignant entre -40 et -70 % par rapport aux normales. Le littoral des Bouches-du-Rhône, l'est du Var et les Alpes-Maritimes, notamment la Côte-d'Azur, sont également en déficit avec des anomalies de -20 à -40 %. Ailleurs, les cumuls sont relativement proches d'une année normale.
Les prévisions saisonnières de Météo-France sur les mois de juillet, août et septembre privilégient des températures plus élevées que la normale sur l’ensemble du bassin et des conditions plus humides que la normale sur le sud, des Pyrénées au bassin méditerranéen. Il est à noter que l’été étant une saison très sèche sur cette zone, un scénario plus humide que la normale ne signifie pas forcément de grandes quantités de précipitation ni l’arrêt de la sécheresse présente dans de nombreuses régions.
Précipitations efficaces
Sur l’extrémité Nord-Ouest du bassin, le cumul des pluies efficaces reste en-dessous de -75 mm, tandis que sur le reste de la région Bourgogne-Franche-Comté, le cumul se situe entre 0 et -50 mm. L’Ain, le Rhône et le nord des Alpes ont aussi un cumul de pluies efficaces négatif, compris entre 0 et -50 mm. En-dessous de Saint-Etienne et Grenoble, les pluies ont été plus efficaces, entre 0 et 50mm, voire 75 mm dans le sud de l’Ardèche. Avec -4,2 mm de pluies efficaces agrégées sur le nord du bassin, pour une normale de – 2,9 mm pour un mois de juin, soit une différence de 1,3 mm, c’est le 31ème cumul le plus élevé depuis 1959.
Sur une grande partie du sud du bassin, les précipitations efficaces sont légèrement négatives. Elles varient entre 0 et -25 mm, et jusqu'à près de - 50 mm sur les reliefs de l'Hérault. Quelques zones sont en léger excès, comme le nord du Gard, le Mont Lozère, la région pyrénéenne, les monts Toulonnais ou le Mercantour, avec des précipitations efficaces entre 0 et 50 mm. Les reliefs des Alpes-de-Haute-Provence, le pays d'Apt et le pourtour de l'Aigoual atteignent même près de 100 mm.
Depuis le mois de septembre 2022, le sud-est de la France est dans l'ensemble déficitaire du point de vue des précipitations efficaces. L'anomalie négative est la plus importante dans le Roussillon et sur une large moitié ouest de l'Hérault, avec moins de 75 % des précipitations efficaces normalement attendues. Ailleurs, le déficit varie entre - 50 et - 75 % sur le pourtour méditerranéen. On observe un léger excès sur le Vaucluse, excepté les Baronnies, et sur le Queyras.
Dans les Alpes, la couche de neige ne se maintient qu’au-dessus de 2200 m. Au 1er juillet, on mesure 76 cm aux Ecrins à 2970 m et 101 cm à Bellecote à 2992 m.
2. Situation des milieux aquatiques et de leurs habitats
La situation hydrologique des petits cours d’eau de tête de bassin au 1er juillet 2023 est légèrement moins critique que celle de l’an passé à la même période (359 stations contre 466 en 2022) mais reste plus sévère que celles de 2019 et 2020, avec près de 1,5 fois plus d’assecs et de ruptures d’écoulement observés alors qu’il s’agit d’années sèches. Elle n’atteint cependant pas la situation observée en 2017, où l’étiage estivale avait été particulièrement précoce.
Plusieurs assecs ou écoulements peu visibles ont été observés dans la partie du Grand-Est appartenant au bassin. 15 assecs et 9 écoulements peu visibles ont été relevés dans le Dijonnais et en Franche-Comté.
En Rhône-Alpes, ont été signalés 15 assecs et 6 écoulements peu visibles concentrés dans la Bresse, le Lyonnais et sur le Nord-Isère. Dans les Alpes, aucun impact sur les habitats naturels aquatiques ni sur la biologie des cours d’eau n’a été observé en cette fin juin 2023. Les cours d’eau restent toujours bien alimentés avec des débits corrects pour la saison, grâce notamment à la fonte des neiges, qui cependant est sur la fin. Sur les Préalpes, les débits sont tous en baisse depuis début juin qui est plus chaud et sec que les précédents mois. Au 30 juin 2023, les débits moyens sont en moyenne plus faibles que les normales saisonnières. Pour autant, en raison d’un printemps relativement humide, aucun constat significatif d’impact sur les habitats naturels aquatiques et/ou sur la biologie des cours d’eau n’a été observé.
En région PACA, les 18 assecs et 4 écoulements peu visibles sont observés sur les cours d’eau côtiers et la basse vallée du Rhône. Le littoral occitan est le plus touché, avec 26 assecs et 18 écoulements peu visibles.
3. Situation des retenues d’eau
Les retenues de Bourgogne-Franche-Comté ont commencé le soutien des canaux et sont donc en baisse. Elles se maintiennent à un niveau conforme aux normales de saison. Au 1er juillet, le taux de remplissage de la retenue de Vouglans se stabilise à 85%.
Dans les Alpes du Nord, en Isère, le barrage de Chambon est rempli à 57 %. La retenue de Grand-Maison est passée de 80 % au 1er juin à 95 % au 1er juillet. La retenue de Monteynard est remplie à 84 % et celle de Sautet à 90 %. En Savoie, le taux de remplissage du barrage de Bissorte est passé de 34 % au 1er juin à 69 %, celui de Mont-Cenis de 32 % à 65 %, celui de Roselend de 77 % à 97 % et celui de Tignes de 46 % à 76 %.
Dans le Massif Central, les retenues du Chassezac enregistrent un taux de remplissage de 84 %, contre 63 % le mois dernier, et celles de Montpezat un taux de 98 %, contre 65 % le mois dernier.
La retenue de Serre-Ponçon a connu une forte dynamique de remplissage depuis début mai, avec une hausse de près de 16 mètres et se situe actuellement à 778,6 m NGF, soit un taux de 97%. La cote de la retenue de Castillon est à 878,5 m NGF, soit un taux de remplissage de 94%. Pour la retenue de Sainte-Croix, la situation s’est très nettement améliorée également sous l’effet des précipitations, avec un niveau de remplissage actuel de 475 m NGF, soit 3,5 mètres au-dessus de la cote touristique. Dans les Alpes du Sud, le mois de juillet débute donc avec de très bonnes conditions qui permettront la satisfaction de l’ensemble des usages de ces retenues : réserves agricoles, lacs touristique et stocks énergétiques pour l’hiver prochain.
La ressource en eau est insuffisante sur certains tronçons du canal de Bourgogne et du canal du Midi, limitant le mouillage et obligeant à des regroupements de bateaux pour le passage des écluses.
4. Hydrologie : cours d’eau, hydraulicité, fleuve Rhône
Les débits des cours d’eau poursuivent leur baisse sur toute la Bourgogne-Franche-Comté, avec des situations inquiétantes dans le Doubs, le Jura et la Saône-et-Loire.
En Rhône-Alpes, les cours d’eau du Beaujolais et de la Bresse ont vu leurs débits fortement chuter. Très localement, dans les Alpes du Nord, la situation s'est aussi fortement dégradée pour quelques stations. La situation s’est stabilisée sur la partie sud de la région, avec des débits redevenus quasi normaux pour la saison.
Les précipitations en PACA ont influencé de façon très disparate les débits des cours d’eau. Dans le Var, par exemple, l’Argens enregistre une hydraulicité supérieure à 2,5, alors que la Giscle et la Nartuby sont quasiment à sec. La fonte des neiges, qui alimente les cours d’eau des Alpes du Sud, est presque finie. Malgré les pluies tombées en première quinzaine, les débits ont continué leur baisse en fin de mois. Ils restent cependant majoritairement proches de la moyenne mensuelle.
En Occitanie, les cours d’eau des Pyrénées et de l’arrière-pays conservent des débits proches des normales. Sur le Massif Central, les débits ont été positivement impactés par les précipitations. La situation des cours d’eau de la plaine du Roussillon et du littoral de l’Aude et de l’Hérault est plus inquiétante et peut mener rapidement à des assecs.
Fleuve Rhône : L’hydraulicité du mois de juin 2023 est en-dessous de la moyenne annuelle sur les cinq stations du Rhône et celle de la Saône. Les six stations se positionnent ainsi entre le 12eme et le 28eme rang des débits mensuels moyens de juin les plus bas sur les 104 dernières années. L’hydraulicité faible du fleuve à Ternay, juste au sud de Lyon, s’explique par les apports insuffisants de la Saône. Elle augmente légèrement à Valence et Beaucaire grâce aux apports des affluents alpins.
5. Humidité des sols
En Franche-Comté, l’humidité des sols s’est maintenue au niveau des normales de saison, voire légèrement au-dessus sur les reliefs du Jura. En revanche, les sols de l’extrémité nord du bassin et de toute la Bourgogne sont secs à très secs.
Sur la partie Rhône-Alpes du bassin, les sols sont restés humides sur les Alpes et très humides sur le sud de l’Isère et les reliefs limitrophes de l’Italie. La Bresse et le Lyonnais ainsi que le couloir rhodanien s’assèchent, alors que l’ouest de l’Ardèche et les reliefs de la Drôme se sont bien ré-humidifiés.
Les sols se sont asséchés de manière globale sur le sud du bassin, et ce malgré les précipitations souvent excédentaires du mois. En PACA, les sols des Alpes du sud et la Provence ont bien gardé leur humidité. Le littoral reste sec de Nice à Marseille. En Camargue, les sols sont très secs et cette sécheresse remonte vers la basse vallée du Rhône
En Occitanie, les sols sont très secs sur une grande partie du littoral allant des Pyrénées Orientales à l'ouest des Bouches-du-Rhône. C'est dans le Roussillon que la sècheresse est la plus marquée. Seul le Gard conserve une humidité des sols proche de la moyenne.
6. Situation des nappes d'eaux souterraines
En Franche-Comté, les nappes sont en baisse ou se stabilisent à des niveaux bas à très bas. En Bourgogne, les nappes de la Tille ont un niveau conforme aux normales de saison. Les nappes inertielles plioquaternaires et miocènes du Dijonnais affichent des niveaux bas à très bas.
En Rhône-Alpes, les nappes inertielles de la Bresse, de la Dombes, du Nord Isère et du Bas-Dauphiné affichent des niveaux bas à très bas, du fait de plusieurs recharges hivernales successives peu intenses et d’un comportement très inertiel. Les nappes en amont du Rhône et de l’Isère sont à des niveaux autour de la moyenne, voir modérément haut dans le Pays de Gex. Dans le Sud de la Drôme, les dernières pluies ont eu un effet très positif sur les nappes alluviales de la vallée de la Drôme et la vallée de l’Aygues, ainsi que sur les calcaires du Diois Baronnies.
Les nappes dans la région PACA ont, pour bon nombre d’entre elles, été sensibles aux conditions hydroclimatiques du mois de juin, en particulier les formations karstiques et alluviales peu profondes du centre et de l’est de la région, qui avaient jusque fin avril été très impactées par le manque de recharge. Elles ont souvent retrouvé leurs niveaux habituels de juin et sont à des niveaux sensiblement supérieurs à ceux de juin 2022. Les précipitations tombées au cours des mois de mai et de juin ont donc eu un impact visible localement et souvent temporairement sur les niveaux et débits des ressources en eau souterraine, mais sans inverser la tendance normale au tarissement en période estivale. Des pics ponctuels de crue ont même été enregistrés sur les nappes très réactives des calcaires karstiques de Provence. Sur le pourtour méditerranéen, les vitesses de décharge des nappes des alluvions et des formations tertiaires ont été ralenties.
En Occitanie, des pics ponctuels de crue ont été enregistrés sur les nappes très réactives des calcaires karstiques des Grands Causses et de la bordure cévenole. La nappe des sables astiens de Valas-Agde et les nappes de l’aquifère multicouche du Roussillon connaissent une situation inédite, avec des niveaux bas à très bas. La limitation des prélèvements semble pourtant avoir un effet bénéfique sur la nappe superficielle en partie nord de la bordure côtière du Roussillon.
7. Mesures d'anticipation et de restriction des usages de l'eau
Au 1er juillet 2023, les 27 départements du bassin Rhône-Méditerranée et 6 zones interdépartementales ont adopté des mesures de restrictions de l'usage de l'eau :
Vigilance : la Haute-Marne, la Côte-d’Or, la Saône-et-Loire, le Jura, l'Ain, la Savoie, le Rhône, l'Isère, l’ACi Est Lyonnais, le Rhône, l'Ardèche, la Drôme, l’ACi Galaure Drôme des Collines, l'ACI Bièvre-Liers-Valloire, la Loire, les Hautes-Alpes, le Var, le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône, l'ACi du Lez provençal-Lauzon, de l'AEygues et de l'Ouvèze Provençale, l’Aude, le Gard, la Lozère, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales.
Alerte : la Haute-Marne, les Vosges, la Côte-d’Or, l'Axe Saône, la Saône-et-Loire, la Haute-Saône, le Doubs, le Territoire de Belfort, l’ACI Allan, l’Ain, la Drôme, l'Isère, l'Ardèche, l'ACI Bièvre-Liers-Valloire, la Savoie, la Haute-Savoie, les Alpes-Maritimes, le Var, le Vaucluse, le Gard, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales.
Alerte renforcée : la Côte-d’Or, la Saône-et-Loire, l'Ain, l’Ardèche, la Drôme, l’ACi Galaure Drôme des Collines, l'ACi du Lez provençal-Lauzon, de l'AEygues et de l'Ouvèze Provençale, l'Isère, les Alpes de Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var, le Vaucluse, l'ACi du Lez provençal-Lauzon, de l'AEygues et de l'Ouvèze Provençale, l’Aude, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales.
Crise : l’Aude et les Pyrénées-Orientales.
L'Ain, la Savoie et les Pyrénées-Orientales sont en restriction depuis 2022.
Restrictions spécifiques aux eaux superficielles au 1er juin 2023 |
Restrictions spécifiques aux eaux souterraines au 1er juin 2023 |
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Restrictions spécifiques aux eaux superficielles au 1er juillet 2023 |
Restrictions spécifiques aux eaux souterraines au 1er juillet 2023 |
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Site PROPLUVIA, les restrictions d'eau
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